Unboxing du robot WeeeBot mini
Dans la série des robots programmables didactiques, j’ai la chance d’avoir en test, merci T.S., le Weeebot mini de chez WEEEMAKE.
Unboxing du WeeeBot mini :
Pour cet unboxing du Weeebot mini, j’ai tenté, en plus, des traditionnelles photos, de faire une petite vidéo. Vous me direz ce que vous en pensez.
Allez zou un petit diaporama :
Caractéristiques :
La carte de programmation WEEEKMAKE ELF mini embarque : microprocesseur ATmega328P, un capteur de sons, un capteur de luminosité, un buzzer, un émetteur/récepteur IR, 2 LED rouges, 2 LED jaunes, un bouton power tactile.
En plus, le robot est pourvu d’un capteur de ligne “single way”, d’un capteur de distance IR RGB, d’un port micro usb, d’un module bluetooth 4.1, de 2 moteurs CC, d’une matrice del 5*14, et d’un coupleur pour 6 piles AA.
Les dimensions sont L*l*H : 157*120*94 mm.
Le robot se programme avec :
une app dédiée pour Androïd ou IOS
à l’aide du programme weeeCode basé sur des distributions modifiées de Sratch 2 et 3.
Programmation :
Après avoir choisis son logiciel de programmation, réalisons un premier programme. J’aurais aimé pouvoir trouver en téléchargement sur le site du constructeur, un script tout fait pour essayer le WeeeBot en mode suiveur de ligne. Mais non. Par contre, il est proposé un petit cahier d’activités en téléchargement qui à l’air plutôt sympa au premier abord.
Je tente de faire l’activité proposée sur le suiveur de ligne.
Après avoir transféré le programme dans le WeeeBot,
Et voilà pour cette première approche du WeeeBot mini.
Allons plus loin :
Comme évoqué plus haut, le WeeeBot peut se programmer avec des logiciels basés sur Scratch 2 et Scratch 3.
mais aussi avec une app mobile qui porte le doux nom de “WeeeMake” :
Attention pour pouvoir utiliser cette app dans de bonnes conditions, deux petites précisions sont à faire :
Pour pouvoir utiliser le mode “Codage par blocs“, vous devrez charger le firmware “online firmware” par l’intermédiaire du PC.
Pour pouvoir utiliser les autres modes de l’app, c’est le firmware “factory firmware” qu’il faudra charger.
Quand même un peu galère, car tout le monde n’est pas équipé d’un PC et d’une tablette ou portable.
Quelques critiques :
- Déjà, l’accès au compartiment des piles est … comment dire : Affreux. C’est un point à retravailler absolument. Au bout de 2 heures de manipulations, j’ai déjà détérioré le fil qui va du coupleur de piles à la carte. Je vais finir par le remplacer par une batterie rechargeable. Dommage que ceci n’ai pas été prévu de base.
- Le montage des 2 roues avant est un peu galère : ici aussi peu d’espace pour mes (pas si gros) doigts.
- La “gomme” des pneus est un peu dure, du coup, sur le carrelage ça patine.
- Je ne suis pas spécialement fan du look type “Lada Niva 1976” et ce, même si le rétro est à la mode.
- Et puis cette histoire de choix de firmawre !!!
En conclusion, vous l’aurez compris, je reste sur ma faim (au premier abord) avec ce robot qui a pourtant des atouts comme la matrice LED intégrée, un capteur de luminosité et de sons. Je pousserais les tests dans les prochains jours afin de lui donner sa chance.